Octris

Les «stups» français pessimistes sur le trafic de drogue en Afrique

A écouter les services antistupéfiants français, au diapason de l'Organe international de contrôle des stupéfiants, on est encore loin du compte en matière de lutte contre le trafic de drogue sur le continent africain. 

On prend les mêmes et on recommence, même s'il y a des variantes. La Guinée-Conakry qui avait fait beaucoup parler d'elle en tant que plaque tournante de la cocaïne, jusqu'en 2008, est toujours en pointe, signalent les services antidrogue français. Au début de ce mois de février, un passeur guinéen a été arrêté à l'aéroport de Conakry, porteur de 22 kilos de cocaïne, alors qu'il allait s'envoler pour Bruxelles. Cerise sur le gâteau, il est parvenu à quitter sa cellule dans des conditions plus que suspectes.